Livre blanc : Bonnes pratiques pour lutter contre la pollution de l'eau
Plus que :
pour atteindre les objectifs de l’agenda 2030
Conclusion
De nombreuses solutions existent pour préserver la qualité de l’eau (et sa quantité) : il nous appartient à tous, citoyens, entrepreneurs, élus et responsables de collectivités de préserver cette ressource que certains pays rêveraient d’avoir.
Ces bonnes pratiques ne se veulent pas exhaustives et nous les avons voulues volontairement liées au territoire, à l’innovation et à leur mise en place rapide (société existante plutôt que projets). Au vu des projets en cours, notamment en attente de mentor chez Entrepreneurs pour la Planète, bien d’autres idées devraient, nous l’espérons devenir réalité.
Le droit à l’eau potable, droit fondamental de l’homme
Le droit des individus à l’eau potable et à l’assainissement est reconnu comme un droit fondamental de l’homme au plan international. En juillet 2020, l’Assemblée générale des Nations Unies a adopté une résolution, reconnaissant ce droit comme fondamental, « essentiel au plein exercice du droit à la vie et de tous les droits de l’homme ».
Malgré ces résolutions internationales, en 2011, deux millions de personnes vivant en France n’avaient pas accès à l’eau potable.
Le sujet est évidemment beaucoup plus grave dans l’hémisphère sud, qu’il s’agisse de l’Amérique du Sud ou de l’Afrique sub- saharienne.
Purifier l’eau en Afrique
Oshun Connect, qui est une spin-off de la Société du Canal de Provence, propose des solutions inclusives permettant aux populations les plus sensibles un accès à l’eau tout en favorisant la mise en place d’un écosystème local communautaire et vertueux. Oshun se distingue par ses innovations en termes de développement rural, de connectivité et de traitement de l’eau.
www.oshun-connect.com
Les aides à la gestion de l’eau
Enfin, de nombreux appels à projets sont actuellement ouverts sur cette thématique : prêt à vous lancer ?