Le design se pique de digital et l’intègre dans une part croissante de ses formations. Exemple avec l’Esdac… Kim Lou Villeval, directrice du site d’Aix-en-Provence revient sur les enjeux de la participation au Medinjob spécial Mondial du breaking qui aura lieu le 29 avril prochain.
Ecole de design existant depuis 15 ans, l’Esdac propose des bachelors et des masters en design d’espace, de produits, de mode, et de design graphique… Le public visé ? Etudiants ? Post bac et masters après 3 ans en arts appliqués… L’Esdac, dans le giron du groupe ACE, est passé de 11 à 13 campus. Elle compte 3 sur le territoire dont Marseille et Istres ainsi qu’à Aix-en-Provence où le site réunit 450 étudiants. « Nous avons souhaité participer à un évènement qui sort des sentiers battus et s’avère différent des salons étudiants classiques. Il est intéressant de rencontrer un public qui ne vient pas systématiquement sur ce type de rencontres et de promouvoir nos formations digitales, notamment en design graphique. C’est un moyen de toucher d’autres cibles ».Quant à la pédagogie du groupe ACE ? « On essaie de faire travailler nos étudiants en synergie sur différentes marques. Le lien avec cette discipline s’est renforcé avec l’entrée du breaking aux JO. Les ponts entre les métiers du sport et du design sont évidents. Avec les apports de l’intelligence artificielle, nos formations évoluent. Il s’agit d’intégrer ces enjeux et d’iappréhender ces outils comme un bonus plutôt que comme une concurrence. Avec l’ambition de permettre aux étudiants d’être plus performants” appuie Kim Lou Villeval, directrice de l’Esdac d’Aix-en-Provence. L’impact grandissant du digital est également incontestable… L’Esdac propose notamment un master design de services et objets connectés et entend répondre aux différents enjeux en matière d’innovation.
